0 Shares 1782 Views

Sortie de “Factory”, le nouvel album de No Money Kids le 26 novembre prochain

5 novembre 2021
1782 Vues

© No Money Kids

Du rock lo-fi au blues électronique, No Money Kids défie les normes et nous embarque pour un road-trip électrique avec leur nouvel album “Factory”.

Motels miteux, néons clignotants, souvenirs dans le rétroviseur, le duo fonce à vive allure sur une route oubliée dévalée de nuit, l’horizon en cinémascope. Inspirés autant par The Kills, Beck ou Sparkelhorse, que par Junior Kimbrough et Robert Johnson, les Kids sculptent un electro-blues addictif, des morceaux indie-pop lancinants et douloureux traversés par un rock rauque et vibrant, alternant ballades vertigineuses et hymnes garage, à coups de guitares hargneuses et d’arrangements électroniques.

Après 3 albums en 4 ans, une multitude de placements dans des films et séries, et un never-ending tour de près de 300 concerts mis en pause par une pandémie mondiale, No Money Kids ne se contente pas de bégayer son art. Le duo met une nouvelle fois à l’œuvre son sens de la mélodie et du rythme contagieux pour un nouveau long-format, homemade, do-it-yourself, sans détours ni superflu.

© No Money Kids

Personnages en souffrance, sur la brèche, en instabilité sociale, affective, les Kids font vivre dans leurs textes la marge et les oubliés. Leur nouvel album « Factory » affole l’aiguille des sismographes et puise son inspiration dans l’univers industriel et ses usines vaporeuses, cathédrales du monde moderne. Brisant les chaînes de production, l’atmosphère sonore et sensorielle prend racine entre le grondement de la tôle et les étincelles du poste à souder, là où cohabitent l’homme et les machines. Il parait que le rock est mort le jour où il a été mis dans un musée, les No Money Kids le ressuscitent à l’électro-choc dans leur Factory, véritable western post-industriel.

Le nouvel album de No Money Kids nous plonge dans l’univers fantasmagorique de l’usine. Ce poumon de notre économie, moderne, imposant, solide, poussiéreux, sans âme mais tellement vivant. Comme une ode aux heures ouvrières et une inquiétude pour nos sociétés post-industrielles, « Factory » explore cet univers à la fois onirique et inquiétant, où se mêle production et aliénation, modernité et archaïsme, hommes et machines, rêves et cauchemars.

Réverbe grandiloquente, guitares rugissantes, basses écrasantes, la production de l’album mènera le duo jusqu’à apporter enregistreurs et micro-contacts in-situ, au plus près des ronronnements mécaniques et des vibrations métalliques, offrant un voyage entre cris de révolte et murmures de mélancolie.

[Source : communiqué de presse]

En ce moment

Articles liés

“Western Smoke” : le nouvel album de The Freaky Buds est disponible !
Agenda
81 vues

“Western Smoke” : le nouvel album de The Freaky Buds est disponible !

Avec “Western Smoke”, The Freaky Buds, le projet de Max Genouel (chant – guitare) et Hugo Deviers (batterie) des Lowland Brothers, livrent un album de blues intensément vivant, forgé dans l’authenticité et la fougue. Enregistré et produit par Kid...

Luc Langevin revient pour un show d’illusions exceptionnel à la Salle Pleyel !
Agenda
138 vues

Luc Langevin revient pour un show d’illusions exceptionnel à la Salle Pleyel !

Luc Langevin enfin de retour avec un tout nouveau spectacle de grande envergure ! Au sommet de son art et en parfaite maîtrise de son talent unique, il exécute avec finesse et précision des numéros de grandes illusions, créés...

Encore une journée : nouvelle exposition de la jeune artiste Joséphine Paul au Cœur de Ville de Vincennes
Agenda
152 vues

Encore une journée : nouvelle exposition de la jeune artiste Joséphine Paul au Cœur de Ville de Vincennes

Encore une journée, série composée de huit toiles, est la nouvelle exposition de l’artiste Joséphine Paul, fraîchement diplômée d’un master en Arts plastiques à Paris I Panthéon-Sorbonne. L’exposition est à voir actuellement, jusqu’au 3 janvier 2026, à Vincennes, au...